Malheureusement, on en a tous commis un en démarrant notre blogue et la plupart laissent à désirer. Le mien ne fait pas exception.
Puisque je suis sans orgueil (pour ça), lisons celui que j’ai composé il y a un an. Il sera suivi de ce que serait mon premier billet si je commençais à bloguer aujourd’hui.
1er février 2007:
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Petit mot d’ouverture pour introduire mon nouveau blogue.
Je m’appelle Erick, je suis dans la mi-vingtaine et il m’arrive parfois des choses hors de l’ordinaire. Je vais journalièrement partager avec vous mes bons coups comme mes mauvais ainsi que les histoires parfois salées et les événements qui meublent mon quotidien.
La raison pour laquelle ce blogue existe maintenant est un peu égoïste. J’ai decidé de garder un souvenir, genre de journal, de tout ce qui se passe dans ma vie car elle passe vraiment vite. De plus, j’aime écrire et j’espère pouvoir susciter l’intérêt de quelques lecteurs. Je ne cacherai pas que je ne vois pas l’utilité d’entretenir un blogue si personne ne vient le lire. Je vais donc tenter d’être captivant (!). Je m’intéresse également aux gens autour de moi et j’adore partager des expériences. J’ai des convictions et des valeurs dont j’aime discuter alors ne vous gêner pas pour me faire part de vos opinions, idées et commentaires.
Sur ce, je vous souhaite une excellente journée et je vous reviens demain avec la première vraie chronique de l’histoire de ce blogue.
-Erick
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Oufff. Rectifions un peu le tir maintenant.
Premièrement, après un an, je n’ai pas l’impression d’avoir une vie incroyablement captivante. Du moins, pas autant que j’essayais de me le faire croire il y a un an. Les histoires salées ? Mettons qu’il y en a pas mal moins que par le passé alors que je travaillais dans des milieux propices… Au sel !
En plus, la routine fait partie intégrante de ma vie maintenant. C’est moi qui a choisi ça mais mettons qu’il serait très difficile d’entertainer les lecteurs de ce blogue en ne racontant que des expériences personnelles. J’ai donc pris une tangeante différente assez rapidement dans la rédaction des billets, au cours des premiers mois du blogue. La tangeante continuera d’évoluer au cours de la prochaine année alors que de nouveaux défis tant personnels que professionnels se présentent à moi en ce moment.
Pour s’amuser maintenant, voyons ce que serait mon premier billet aujoud’hui, si je commençais un blogue:
Février 2008:
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Merci de ta fidélité cher lecteur, chère lectrice. Merci d’être venu jusqu’ici dans les archives pour voir le premier billet de l’énergumène que tu lis tous les jours.
Y’a personne qui lit un premier billet le jour de sa publication alors à quoi bon me présenter ? Tu me connais déjà.
En fait, je pense que seuls les lecteurs qui aiment beaucoup un blogue vont fouiller dans les archives pour en lire plus. C’est pourquoi si tu lis ces lignes, tu aimes probablement le blogue. Alors merci. 😉
Faque c’est ça. Tu peux aller lire le deuxième billet maintenant. Mais surtout, ne manque pas celui de demain.
-Rick
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Pis ? Y’a une légère nuance qui est attribuable à 12 mois d’expérience bloguale.
Encore pour le fun, j’aimerais que vous copiez VOS premiers billets respectifs, dans les commentaires de celui-ci.
Personne ne va rire de vous promis… Mmmppfffff. On va se retenir.
Participez vous aussi, au Festi-Rick 2008 ! 
Pouah, de mon côté, c’était encore piiiire que toi! Carrément n’importe quoi! Et ça ne fait pas si longtemps en plus…
Faisons connaissance
Mise en garde: N’étant pas particulièrement friande de technologie, ce sera ma première tentative. Je la souhaite prolifique.
Je me mettrai donc à nu, question d’attirer les regards indiscrets! Je me dévêtirai lentement, mais sûrement. Je serai chatte, je serai chienne et même limace. Je me ferai pute, j’en mettrai plein la vue.
Il y en aura pour tous les goûts! Plaisir garanti…
Clépétar
Ok j’embarque, voici le mien:
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Un premier contact
Il y a plein de choses que je voudrais dire..mais des règlements m’en empêche. D’où l’idée de me créer un blog.
Un blog qui parlera de tout et de rien…
Pas de censure, pas de gêne…
Et un blog qui sera en français et en anglais…l’inspiration du moment guidera ce choix.
Au plaisir de vous parler bientôt!
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C’est poche hein!!
Clép & Bouddi : Mouhahaha !! Merci d’avoir participé 😉
Voici le mien… ouf, c’est redondant et répétitif…
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Voici le texte d’ouverture de mon blogue qui me servira à écrire les récits de mes futures rencontres avec les femmes. J’aime écrire, je le fais au mieux de mes capacités pour être clair, précis et d’une lecture agréable malgré mon vocabulaire limité et mes nombreuses fautes de français. À ce titre, depuis 2001, j’écris mon « autobiographie intime » dans laquelle je narre mes souvenirs. Mon journal de près de 200 pages n’est pas un blogue, inutile de le chercher sur Google.
Alors, à quoi bon ce blogue ?
Tout simplement parce que j’ai le goût d’écrire ce qu’il adviendra de mes rencontres avec les femmes dès que je serai prêt à aller de l’avant dans la recherche amoureuse. J’ai d’abord cru écrire tout ceci QUE dans mon journal mais je me suis ravisé pour isoler le récit de mes rencontres et les rendre disponible dans un blogue qui pourrait devenir l’outil idéal pour me faire réaliser les raisons de mes erreurs et améliorer une facette de ma vie ; ma difficulté à rencontrer des femmes et être confortable dans ces situations.
Le n’ai aucune envie de faire du kangourou de vulves pour alimenter ce blogue. Je ne cherche pas à étaler un hypothétique, voire utopique tableau de chasse. Je ne suis pas une copie d’un personnage du célèbre « Bêtes lumineuses » de Pierre Perreault (ONF). J’ai simplement envie d’élargir mon cercle d’amies et d’aller voir où l’arc-en-ciel touche le sol.
Je ne cherche pas à battre de record. Je vis ma vie, un point c’est tout.
J’en ai même pas fait, de mot de bienvenue! C’est raide,hein? Pour le lecteur… J’ai plutôt écrit un genre de «moi en quelques réponses» afin que certains puissent voir à qui ils auraient affaire. C’est encore valide aujourd’hui… le voilà:
Je me fais appeler le plus souvent Lud, mais mon prénom c’est Ludmila.
Le 2 mai dernier, j’ai soufflé 20 petites chandelles sur un gâteau. Eh oui, j’ai fait mon entrée au premier âge et c’était un peu la panique!
Je suis brésillienne de naissance et d’âme Montréalaise depuis 8 ans.
Je n’ai pas de tatoos ni de piercings: je ne suis pas une rebelle!
Je commence à peine à devenir plus sûre de moi au volant et j’y prends goût. Je dirais même que j’aime conduire (!)(quel progrès!)
Je ne peux pas me passer de coke. Au moins une fois par jour (!)
J’adore le thé à la menthe, en particulier lorsqu’il est fait à la mode Marocaine (merci aux amis qui me l’ont fait goûter!!)
J’adore me blotir dans ma couette rembourrée de duvet et y rester longtemps longtemps (mais ça n’arrive pas trop trop, je dois dire…)
J’aime les baisers chauds et tout doux que seul mon amoureux sait faire…
Je n’ai pas de couleur préférée…
Être en vacances, pour moi c’est un état de grâce!
J’aime découvrir de nouvelles cultures et de nouvelles époques.
Je suis certainement une jeune femme ouverte d’esprit…
Chez les gens, j’admire la curiosité intellectuelle!
D’ici 10 ans j’espère continuer d’être heureuse et d’avoir trouvé ma voie.
Je déteste me sentir bousculée (je dirais même que ça fesait partie de mon caractère avant la naissance, puisque je suis née 2 semaines plus tard que prévu!)
J’adore les vieilles chansons, les livres de toutes sortes (y compris la paralittérature) et regarder des films (un peu comme tout le monde finalement, non?).
Mon petit plaisir illicite serait de fumer la shishah (pipe à eau, pour qui ne le sait pas!) de temps en temps (saveur double pomme), hummm…
C’est tout pour tout de suite.
Au plaisir d’avoir des visiteurs un jour,
Lud.
p.s.: J’ADORE TON ENTRÉE EN MATIÈRE, CLEP! C’est pas du tout PIRE que Rick. Je me rappelle l’avoir lue et je l’aimais bien…
Sérieux, j’avais jamais relis mon premier post qui date du 20 Février 2007….crisse j’approche mon 1 an moi aussi!! Mais en relisant ce post, je me dis que je suis resté fidèle à ce premier post…
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Je me lance tête première….vais-je avoir les nerfs assez solide? Seul le temps me le dira. Faire des mises à jours régulièrement, vous compter mes sentiments, ma vie, mes angoisses……et bien sûr ma stupidité!
Et oui, je tente ma chance dans le merveilleux monde du blog. Je devrais avoir un malin plaisir à vous faire découvrir mon univers. Mon univers en fait, c’est dans ma tête que ça ce passe….vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de conneries qui ce passe là-dedans.
J’espère que vous prendrez goût à mes niaiseries!! Bonne lecture et ne vous gêner pas pour me laisser un commentaire!
Ahahah, très drôle de voir ta vision des choses après 1 an. Voici le mien, qui est probablement le plus court de tout les 1er billet.
« Pourquoi bloguer? Pourquoi pas.
Qu’est ce que ça donnera? Je ne sais pas. Mais ca me tente. »
Wow. On sent la graine d’écrivain.
Merci Lud 😉
Ouais mais on a pas encore vu Clep se mettre à nu ! 😀
Pascal: C’est pas si pire voyons 😉
Lud: J’me rappelle du tiens
Marco: Fidèle à toi même 😉
Yano: Pouhahahahahaha
Mon premier billet, sur 1001 Petits Riens, fut écrit le 29 septembre 2006
http://1001petitsriens.blogspot.com/2006/09/utopie-du-jour-de-paye_29.html
Utopie Du Jour De Paye
Quoi de mieux que de se lever, un beau jeudi matin ensoleillé d’automne naissant et de s’apercevoir qu’un beau petit montant de dollars ont été déposé comme par magie dans notre compte de banque; quoi de mieux hein?
Ceci dis, je me fais une mission de partager ce bonheur a chaque deux semaines; je donne aux mandiants, achète des cadeaux aux gens que j’aime, apporte une gâterie au bureau, donne pour une bonne cause, etc… Je suis de celle qui croit qu’il faut rendre ce qui nous est donné.
Bien sûre, l’argent rapporté en travaillant ne m’est pas donnée, elle est méritée; mais il y en a sûrement une partie qui me paye 1 heure d’internet utilisée a des fins personnelles, ou 30 minutes de lune a regarder par la fenêtre, ou encore, 20 minutes ou j’ai littéralement fais semblant de travailler!!! Sans oublier les 10 minutes entrecoupées ou j’écris ce blog, hahaha!
Dans ce monde surconsommation, nous avons tous un besoin, une dépendance et même une perversion profonde envers l’argent. La simplicité volontaire telle que vue depuis quelques années, c’est d’être littéralement pauvre et de vivre dans des conditions quasi inhumaines. Pardon si je vais a l’encontre des croyances de certains, mais selon moi, il y a des milliers de façons de pouvoir vivre sans surconsommer, mais surtout, de prendre conscience que nous ne sommes pas seuls sur cette Terre, cette belle Terre Mêre qu’est notre planète.
La surconsommation, a mon œil critique, n’est pas nécéssairement d’acheter un tas de trucs inutiles, mais d’encombrer les ordures de ceux-ci, ce qui pollue. Elle est aussi le fait de dépenser sans compter pour des choses qui justement termine aux ordures, quand l’argent dépensée aurait pu être donnée a un enfant pauvre qui profite du programme des petits déjeuners. La surconsommation…un mal de société, un virus grippant.
La pire des surconsommation n’est pas le travailleur moyen qui gagne 60000$ et décide de s’acheter une nouvelle télévision tout les trois mois. C’est le fait de lancer l’argent aux poubelle en donnant des salaires exhorbitant a un joueur de hockey qui n’est même pas foutu de compter un seul but en cinq ans. C’est le fait de payer des dépenses de nourriture pour 150000$ pour la gouverneure générale du Canada – Non mais, je pourrais me nourrir moi-même pendant au moins 3 ans avec cela!!! C’est aberrant de constater que même nos dirigeant encourage cela.
Donner a son prochain contribue au roulement de la société en réduisant la surconsommation; en aidant un, il en aidera un autre… Un effet papillon de générosité si on veut. Ne serais-ce pas merveilleux si cette vision serait faisable?
Bon bon bon, je sais, cela n’arrivera jamais… Mais personnellement, je continuerai a donner, et a espérer qu’un jour, la population et notre belle Terre seront tous en santé et ne manquerons de rien.
Et oui, je surconsommerai encore…
Malgré tout, j’établirai un juste millieu.
Je l’espère…
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Mouin… ça me ressemble encore, non? Humour en moins, ben sûre!!
Merci Rick, c’était agréable de replonger là dedans!
Comme de fait, mon premier billet ne pouvait pas tenir en deux paragraphes! Cependant, je ne le regrette pas, je le trouve encore pas pire!
Ça va comme suit (pour ceux que ça intéresserait) :
Premier billet
Lundi, 19 novembre 2007
Le syndrôme de la page blanche.
Vous savez, j’ai plein d’idées géniales pour ce blogue. Ça fait déjà quelques semaines que j’y pense, que je sais exactement de quoi je veux traiter, quelle orientation je veux lui donner, quels sujets je veux aborder et dans quel angle…
Je ne sais juste pas par où commencer.
J’ai envie de quelque chose d’éditorial. Je veux débattre avec vous. Je veux vous provoquer. Je veux vous choquer. Je veux également faire réfléchir. J’ose croire que mon opinion compte dans les grands enjeux sociaux et politiques actuels.
J’ai également envie de m’amuser, de traiter également de sujets plus légers. Parce qu’on ne peut pas être révoltée tout le temps.
Je ne suis pas “politically correct”. J’ai une façon de voir et d’analyser les choses bien à moi. Je suis toujours fermement convaincue de ce que j’avance.
Je m’amène ici dans un souci d’efficacité. Au fil du temps, j’ai écrit des textes de type éditoriaux enflammés un peu partout sur le web. Sur ma page MSN Spaces, ensuite sur MySpace, ensuite sur Facebook, ici et là en réponse à d’autres billets sur différents blogues. Au bout du compte, ça ne rejoignait pas beaucoup de gens outre ceux que je connais et ça ne faisait pas très sérieux comme vitrine. WordPress m’a semblé une alternative très intéressante. De plus, bien que j’assume toujours entièrement ce que je dis ou exprime comme idée, je n’ai pas nécessairement envie d’être identifiée formellement par certaines catégories de gens, raison pour laquelle j’utiliserai toujours un pseudonyme.
J’aimerais par contre vous expliquer le choix de ce pseudonyme. Noisette sociale. Bon, premièrement, je sens le besoin de préciser que je ne me suis pas trompée dans le choix du terme “sociale”. J’apporte une grande importance à la qualité du français et j’ai dépassé le stade où l’on confond “social” et “sociable”. Ceci dit, sachant qu’il n’y a pas de confusion dans le terme utilisé, je suis consciente que ces deux mots mis ensembles ne font pas vraiment appel à un concept précis. Ça ne veut pas dire grand chose. En fait, je voulais m’appeler Noisette, tout court. C’est quelque chose qui me représente bien, d’une certaine façon mais je ne vous dirai pas pourquoi. Malheureusement, il semblerait que ce n’est pas le pseudonyme le plus unique et/ou original au monde alors il était déjà pris. Comme j’avais besoin de faire cette page là, tout de suite, à ce moment-là et que je ne voulais pas faire de compromis en y ajoutant simplement un nombre, en modifiant l’orthographe (j’ai horreur de cette manie qu’ont les gens de nos jours à mettre des k au lieu des c, des z au lieu des s, d’ajouter des h, etc.) ou d’en trouver carrément un autre et ainsi mettre un frein à mon enthousiasme. Alors, je me suis dit: “Je veux d’un blogue à portée sociale. J’aime le mot social. J’aime la sociologie. Tiens, on va mettre ça de même: Noisette sociale. Bon, voilà une bonne chose de faite.”
Ceci étant dit, le look de cette page sera très bientôt appelé à changer. Celui-ci est temporaire. Je ne connais rien au langage CSS mais il semblerait qu’il n’en est pas de même pour mon fiancé qui m’a promis de m’arranger de quoi à mon goût.
Ce premier billet avait pour but de briser la glace. Surtout pour moi en fait. Je ne me voyais pas vous garocher de même un billet décriant quelque chose avec fougue, sortant de nulle part. Avant de faire ça, il m’était essentiel d’établir un premier contact (en supposant que quelqu’un atterisse par ici). D’ailleurs, il paraîtrait que c’est la première étape en communication. 😉
À bientôt!
……………………………………………………………………………
Sinon, c’est bien sympa comme exercice! Et puis c’est vrai que finalement, ceux qui deviendront des lecteurs réguliers n’ont probablement pas lu le premier billet et sont arrivés au fil du temps.
Par contre, j’ai garoché des textes dont je suis très fière dans les premiers jours de ce blogue. J’aurais bien aimé qu’ils touchent le lectorat que j’ai aujourd’hui!
Toujours un plaisir de te lire mon Rick! 🙂
@ tous:
Crisse sont dont ben bon vos premiers billets comparativement au mien !!!!
J’ai des croûtes à manger 😀
Mdrrr!! Ben naon Rick, on a juste tous une différente façon d’entrer dans la game!
Anyway… le pire… c’est Yano! 😀 hihihi!
Aucun doute là-dessus… Yano, il torche des culs !
Absolument! Le mien, entres-autres…. (ma yeule…..!) 😉
Yano te torche !!!!!!!!!!!
(Nos yeules)
Mouhahahahha! S’il savait… pauvre ti… 😉
(re nos yeules..!)
Hihi, j’ai relu grace a ce post mon premier texte… rien à voir avec des présentations, en fin j’espère parce que j’étais totalement désespéré et dans la merde! :p
Bordel!
Dans tous les sens, on s’entend. En écoutant la musique d’Amélie Poulin et en lavant ma vaisselle aujourd’hui, je me suis rendu compte qu’il me restait une seule solution. Je dois condamner mes armoires. Je n’aime pas du tout faire la vaisselle et encore moins quand elle est partout dans ma cuisine. C’est tellement décourageant que je ne peux même pas prévoir combien de temps ça va me prendre… une heure, deux, qui sait… Le plus décourageant est quand j’ai vue cette chose, ce truc, ce que c’était… j’en avais aucune idée. Ce que ça sentait, vous voulez même pas savoir. Je crois bien que mon éponge pour laver ma vaisselle a moisi dans le fond de mon lavabo. C’est vous dire à quel point je la fais souvent. Je pourrais me consoler en me disant; ben voyons, tu habites toute seule et tu as des tonne de vaisselles, utilise là jusqu’à ce qu’il n’en reste pas dans tes armoires… c’est bien ce que j’ai fait, un petit deux minutes d’accumuler par ci par là à ne rien laver et ce que ça me donne; un nombre d’heure INCALCULABLE aujourd’hui à accomplir cette merveilleuse tâche ménagère.
J’aurais pu les calculer, bien sur, mais j’ai passé beaucoup trop de temps à attendre que mon lavabo se vide, parce qu’il était totalement hors de question que je mette ma main dans cette eau pour en extraire un truc gluant afin faire ma vaisselle plus vite. NON TANT PIS!
Entreprise numéro deux, on est lundi, le jour des poubelles(ben enfin je crois), je dois donc me donner un coup de pied au derrière. N’allez pas penser que je suis malpropre, c’est seulement que mes sacs poubelles sont regroupés sur mon balcon arrière, ce qui m’évite de descendes les seize marches qui me sépare de la rue. Aujourd’hui, en plus de laver la cuisine je me suis décidé à les sortir! Je les prends, deux à deux(il faut être efficace quand même), pour les emmener devant quand je frappe un mur; Merde un blanc, ce qui laisse une tache brunâtre… bon je la laverai plus tard. Sac numéro trois et quatre maintenant, il y en a un qui est lourd, il va être difficile à lancer sur la rue. Je continue, encore trois ou quatre aller retour et enfin le dernier sac. Il pue, il était au fond, je le lance et paf il se déchire… MERDE!
Je me reprend, vite un sac, je ramasse tout et je me dit que je ne veux plus jamais que ça m’arrive.
Dernier projet de la journées épuisante que je viens de passer, balayer et laver le plancher. Moins de commentaire sur ça, mon plancher est encore vivable, balayer reste périeux, mais laver tout va bien!
Bon travail Rad!